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  • A l'initiative du Conservatoire Pau Béarn Pyrénées, 16 villes européennes membres d'Eurocités offrent toutes ensemble un concert unique et merveilleux.

    La célèbre Cantate de Bach, Cantata BWV 147, "Jesus que ma joie demeure", est ainsi interprétée à l'occasion de la fête la Musique Ancienne, célébrée par l'Europe le 21 mars.


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    Faites que ce dessin fasse le tour de France et s'affiche sur un maximum d'écrans dans les jours qui viennent !
    À partager sans aucune modération pour soutenir le mouvement d'occupation des théâtres et des lieux culturels. Pour que la culture reprenne enfin ses droits. Si vous travaillez dans une commune possédant des espaces d'affichage publics, vous pouvez vous aussi disposer gratuitement de ce visuel en nous contactant par mail : cinqsecondes.prod@gmail.com
    En début d'année, nous avions réussi un pari un peu fou : collecter de l'argent via notre asso
    Cinq Secondes
    pour afficher des dessins de
    Marc Large
    dans des espaces publicitaires, à la place des traditionnels slogans. Parmi nos donateurs et donatrices, il y avait
    Sandrine Petitgrand
    : grâce à sa pugnacité, l'idée d'une autre campagne "AFFICHONS-NOUS !" a été reprise par plusieurs villes et villages des Landes avec un nouveau dessin original de Marc, créé pour une édition spéciale "défense de la culture". Un énorme MERCI à toi, Sandrine, d'avoir porté cette idée pendant plusieurs mois auprès des municipalités, à Marc pour son magnifique dessin et bien sûr aux communes participantes d'offrir leurs espaces d'affichage pour l'occasion, pendant plusieurs semaines en mars et avril : Angresse, Benesse-Marenne, Capbreton, Josse, Magescq, Messanges, Moliets, Orx, Saubion, Saubrigues, Saubusse, Saint Martin de Hinx, Mairie de St-Vincent de Tyrosse.

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  • « Le jour où je vais disparaître, j’aurai été poli avec la vie car je l’aurai bien aimée et beaucoup respectée.
    Je n’ai jamais considéré comme chose négligeable l’odeur des lilas, le bruit du vent dans les feuilles, le bruit du ressac sur le sable lorsque la mer est calme, le clapotis. Tous ces moments que nous donne la nature, je les ai aimés, chéris, choyés. Je suis poli, voilà. Ils font partie de mes promenades et de mes étonnements heureux sans cesse renouvelés.
    Le passé c’est bien, mais l’exaltation du présent, c’est une façon de se tenir, un devoir. Dans notre civilisation, on maltraite le présent, on est sans cesse tendu vers ce que l’on voudrait avoir, on ne s’émerveille plus de ce que l’on a. On se plaint de ce que l’on voudrait avoir. Drôle de mentalité !
    Se contenter, ce n’est pas péjoratif. Revenir au bonheur de ce que l’on a, c’est un savoir-vivre. »
    Extrait de Promenades en mer et étonnements heureux, d’Olivier de Kersauzon .

     


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