• votre commentaire

  • votre commentaire

  • votre commentaire
  • Un jour j’ai poussé la porte où était inscrit : “ diminue la douleur de la distance ” et je suis entré dans le palais de la mémoire. Il y avait partout des livres vivants. Entre mille autres j’ai décidé d’explorer la douleur et l’absence de l’être aimé. il m’est aussitôt apparu que cette douleur était une maladie guérissable. Je me suis aventuré plus avant dans la salle. Entre mille autres voix, j’ai entendu ceci : “ plutôt que de t’enfermer dans le chagrin et l’indifférence, cultive la sensation que l’être aimé a laissées en toi, redonne vie, dans tes dedans, à la tendresse et à la douceur. Si tu revivifies ces instants de bonheur passés, si tu les aides à pousser, à s’épanouir, à envahir ton être, la distance peu à peu se réduira, la douleur peu à peu s’estompera. Tu peux recréer ce que l’oubli a usé ”
    - Henri Gougaud , Les Sept Plumes de l’aigle

    votre commentaire

  • votre commentaire
  • Automne 1944. Dans les Pyrénées battues de neige et de pluie, s’avancent les maquisards espagnols. Ils viennent de libérer l’Ariège des occupants allemands et lancent maintenant une offensive contre Franco, dernier avatar fasciste d’Europe. Parmi eux, Mateu, ex-policier barcelonais réfugié en France, qui entend racheter ses erreurs en tombant l’arme à la main. Mais l’opération Reconquista tourne court, la brigade tombe dans une embuscade et Mateu se retrouve bientôt seul dans la montagne. Affaibli par un sevrage alcoolique brutal, la faim et le froid, hanté par sa mémoire, Mateu doit choisir : s’abandonner à la mort, ou lutter pour survivre.
    À travers l’épopée de ce personnage ambigu, Serge Legrand-Vall nous offre un splendide roman historique à deux temps, entre l’effervescence révolutionnaire de la Barcelone de 1936 et les maquis pyrénéens de 1944.


    votre commentaire

  • votre commentaire

  • votre commentaire

  • votre commentaire

  • votre commentaire

  • votre commentaire

  • votre commentaire

  • votre commentaire

  • votre commentaire

  • votre commentaire
  • Charles Juliet


    votre commentaire

  • votre commentaire

  • votre commentaire

  • votre commentaire
  • Il semble qu'il ait eu la vie dure ce livre , mais en le lisant,

    j'ai oublié le temps qui passait , comme le temps qu'il faisait...


    votre commentaire


    Suivre le flux RSS des articles de cette rubrique
    Suivre le flux RSS des commentaires de cette rubrique