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    Lettre à soi  même ....
    Il y a des jours où je me surprends à t’aimer, à te regarder avec la tendresse que tu ne t’offres jamais. 
    Aujourd'hui, je t'écris ces mots, non pour te rappeler tes faiblesses, mais pour te parler de ta force, de cette lumière douce qui éclaire ton cœur, même dans les moments les plus sombres..
    Tu as traversé tant d’épreuves, Alix, sans jamais cesser de chercher la beauté dans chaque instant, même quand tout semblait perdu. 
    Et même si parfois, tu doutes, même si tu as oublié de t’aimer dans le tumulte des jours, sache que je vois en toi cette femme qui se tient droite, malgré les tempêtes..Tu es cette lumière cachée derrière les nuages.
    Il y a en toi cette beauté silencieuse que personne ne remarque, mais que moi, je devine. 
    Tu es plus forte que tu ne le crois, et il est temps que tu te regardes avec cet amour que tu offres aux autres. 
    Ouvre tes bras à toi-même, laisse-toi tomber dans cette tendresse que tu mérites..
    Aujourd’hui, je t’écris pour que tu te souviennes de qui tu es, Alix. Une âme fragile, certes, mais pleine de vie et d’espoir. Je t’écris pour que tu saches que tu es aimé.e, même par toi-même.
     Alors, pardonne-toi, embrasse la femme que tu es devenue, et marche avec fierté..
    Avec tout l’amour que tu n’as jamais osé te donner,Moi "Alix "
     
    Texte protégé par auteur Jocelyn Nicolas Daret
     
     
     
     
       

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    Je suis seulement l’ouvreur de fenêtres,

    le vent entrera après tout seul.


    - Jean Giono, Que ma joie demeure


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  • Je ne veux pas t’avoir mais, comme je t’aime, je peux t’être.
    ~ Jacques Prévert


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    Ne soyez pas fâchés d'un hier trop morose car dans la nuit immobile la vie a posé toutes ses beautés, tout est en ordre, et la beauté des mots et le jour fleurissant.L'amour et le reste, le ciel et ses étoiles endormies, il flotte sur nos âmes un doux parfum immortel, dans le nid de nos pensées se trouve bien au chaud l'art d'aimer et lorsque la clarté tue le bruit c'est pour apprécier l'ombre d'un silence.Sur les fleurs d'un poème moi j'ai fait le serment d'habiller encore vos heures de mes lettres les plus tendres, j'ai promis d'embrasser toujours le feuillage de vos minutes solitaires pour faire naître tel un livre, les pages d'une belle histoire.~

    Carole Riquet


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  •       Sous la fleur, la branche

          Sur la fleur, l'étoile

          Sous l'étoile, le vent.

                                                    Sébastien J. Zanella 


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    Est ce que tu peux ressentir

    quand je t'appelle en silence?

    Dans mes pensées où je n'ai

    Qu'une envie, sentir ta présence


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  • L'arbre bleu céleste

    T'inspire  le lâcher prise

    Ouvre  tes ailes


    F. Lab


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    On ne mesure sans doute pas assez la force de la tendresse,

    qui se communique de peau à peau, d'âme à âme, de cœur à cœur.

    Si nous pouvions seulement être là, ralentir notre rythme,

    nous mettre à l'écoute, ouvrir nos antennes les plus fines

    pour percevoir les attentes, les besoins les plus subtils,

    mettre dans nos mains toute l'attention et

    le respect dont nous sommes capables

    et garder confiance dans la danse de la vie !


    Marie de Hennezel


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  • Et moi, j’ai tant besoin de toi

    D’entendre l’eau qui coule dans mon verre,

    Qui nous raconte cette histoire folle,

    Et toi, tu as tant besoin de moi,

    Nous avons tant besoin de ce monde fou,

    Celui qui tourne autour de nous,

    Et toi, et moi, et toi et moi,

    Cet air, cette musique qui flotte,

    Qui nous parle de cet amour flou,

    Quelque part, là où personne ne va,

    Cet endroit, d’où personne ne part,

    Quelquefois je me demande où on va,

    Quelquefois, je me demande où je vais,

    Et je t’ouvre ma peine, avant de devenir fort,

    Et moi, j’essaie de devenir moi pour toi,

    De poser un pied au sol, le matin,

    Avant de poser l’autre pied,

    De faire mes lacets sur le tabouret,

    De lever les bras aux cieux, sobre,

    D’ouvrir la fenêtre, de rabattre les volets,

    Même ceux qui se sentent abattus,

    De siffloter le même air que la cafetière,

    Et moi, j’ai tant besoin de toi,

    D’oublier ma haine, pour te deviner ma reine,

    Quelquefois je me demande où je vais,

    Quelquefois tu me demandes où je fuis,

    Je suis désolé mon amour, je ne le sais pas,

    Nulle part où tu n’es pas, quelque part,

    Et toi, les soirs où je prie, où es-tu,

    Tu sais bien que je m’inquiète pour toi,

    Les soirs où je prie, t’endors-tu quelque part,

    Là où personne ne va, là où personne ne part…
                                       Laurent Mourot-Faraut


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  • Robin


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  •  Vieillir c'est comme escalader une montagne.

    Vous êtes un peu essoufflé, mais la vue est bien meilleure ! 

    Ingrid Bergman


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