•        Quelque chose de mon enfance est revenu dans ce geste.

           Quelque chose de mon passé.

           Pas un souvenir, pas un visage, mais quelque chose.

          Une odeur d'herbe fraîche et de violette.

          Une vibration de la lumière sur l'eau.

          Quelque chose de ce genre...

     http://ouvrirletemps.blogspot.fr/


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  • EXCUSE ME, WHERE DO YOU LIVE?

    Jorge Quiroga


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  • Au lacq du Grecq... Photo  Anelmana!


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  • Film d'animation  Patrick Pasques


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  • Les initiateurs du projet ont fait le tour des écoles, collèges et lycées d'Orthez : ils ont reçu partout un accueil très favorable. Le lundi 2 mars - jour de la Saint-Charlie - dès 13 h 30, près de 2 000 élèves venus de tous les établissements scolaires d'Orthez et alentour se relaieront sur la place d'Armes pour dessiner un morceau de la fresque géante à la craie sortie tout droit de l'imagination du groupe Le Trottoir d'en face. « L'idée, c'est de créer la plus grande fresque possible, sur le thème du vivre ensemble », explique Benoît Crabos, leader de cette formation musicale très populaire auprès de la jeunesse orthézienne.

    « Quand il y a eu les attentats à “Charlie Hebdo”, on a voulu rendre hommage à ces hommes », poursuit-il. Le temps de nourrir un projet à l'esprit positif, et voilà l'idée lancée sur les réseaux sociaux, où elle suscite très vite des réactions enthousiastes. Défendre la liberté d'expression et promouvoir le vivre ensemble, tels sont les buts poursuivis, et très vite plébiscités par les responsables politiques et directeurs d'établissements scolaires.


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  • Finding hearts - Sharing love


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  •                    Il suffit parfois de si peu de choses...

                      Le Détail a toute son Importance..

                      Ne Le négligeons Pas.

                     Il suffit d'une Goutte pour faire déborder le vase..

                     D'une étincelle pour embraser toute une forêt...

                    D'un Sourire pour Redonner Confiance à La Vie…

                    Clo Carreno.


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  • Liniers


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    "Je lisais un philosophe quand la grande vague de rire m'a envahi. Un rire silencieux, sismique, souterrain. En montant à la chair du visage il ne donnait qu'un sourire, une secousse de surface mais par-dessous mon cœur était brûlant, un brasier dans ma poitrine. Le philosophe était plus qu'estimable. Il avait trouvé un trousseau de clés perdu dans l'herbe. De belles clefs en or, larges comme les clés d'une ville et à peu près aussi inutiles: il n'y avait pas de portes. Il n'y en avait jamais eu. Les clefs ne servaient à rien - ce qui a fait lever en moi le grand rire silencieux qu'à présent je partageais avec le bouquet de freesias sur le bord de la fenêtre. Un duvet volait sous mes yeux. Ce peut être joyeux de n'être qu'une poussière. Les fleurs riaient de toutes leurs couleurs. Une araignée grimpait à sa corde d'argent de l'autre côté de la vitre. Elle filait droit au ciel comme une parole sans prudence. Et elle riait de l'inutilité de toute philosophie, comme en riaient les fleurs et la vigne vierge autour de la fenêtre, et les pages blanches pas encore cuites sur le bureau. Le mot "bureau", même, devenait farceur, comique. Vraiment j'aimais ce philosophe. Ses phrases étaient pleines d'une paix lumineuse, aérée, bienfaisante. Mais le grand rire était le plus fort. Il venait du fond des étoiles, lancé comme une pierre. Les livres des philosophes sont comme ces masques de carton qu'on fait tenir par un élastique contre son visage. Dessous le carton on manque d'air. Regarde, me disaient les fleurs dont l'odeur rapetissait la chambre. Regarde: il n'y a pas de porte, nulle part. Il n'y a que notre parfum, nos couleurs et nos rires. L'autre monde commence par ce rire. L'autre monde est ce rire. Pourquoi chercher ailleurs, autre chose ? Le dieu est un enfant qui se cache et il y a un moment où il se trahit: quand on passe près de lui, on entend son fou rire. Tu peux l'entendre dans la musique, dans le silence. Dans le bourgeon qui éclate, derrière le nuage qui passe; dans une bouche édentée. Partout. C'est incroyable le bruit que peut faire un bouquet de fleurs dans une toute petite chambre. Elles me soûlaient. Aucune philosophie au monde n'arrive à la hauteur d'une seule marguerite, d'une seule ronce, d'un seul caillou discutant comme un moine rasé en tête à tête avec le soleil et riant, riant, riant."

     

    Christian Bobin- L'homme joie


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    " Le rire est le langage des anges, il est ce qui sauve la vie quand les mots     ne    peuvent plus rien.   Il est peut-être bien la chanson préférée de Dieu. "

                                                             Henri Gougaud

     


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  • Haki Matsedua


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    http://innerbohemienne.


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