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    La petite fleur qui tombe
    Pourrait faire un bruit de bombe
    Ecoutez écoutez
    La petite fleur profane
    Celle qui jamais ne fane
    Place de la Liberté
    Les deux pieds dans Paris le front dans l’avenir
    La main tendue à qui voulait bien la tenir
    Je fus heureux je vous le jure
    Les chansons crépitaient à chaque coin de rue
    Et moi frappé au cœur d’une rose perdue
    J’en garde encore une blessure
    La petite fleur qui tombe
    Pourrait faire un bruit de bombe
    Écoutez écoutez
    La petite fleur profane
    Celle qui jamais ne fane
    Place de la Liberté
    Aujourd’hui que l’hiver a séparé nos mains
    Je vais obstinément sur le même chemin
    Entre la rage et la tendresse
    Dans Paris aux murs gris jusqu’au-dessus des toits
    Une petite fleur me dit rappelle-toi
    Ne me laisse pas en détresse
    La petite fleur qui tombe
    Pourrait faire un bruit de bombe
    Écoutez écoutez
    La petite fleur profane
    Celle qui jamais ne fane
    Place de la Liberté
    Henri Gougaud

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  • Sylvain Cazalbou


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  • Quand Gréco chantait Gougaud:
     
    Vivre au fil de mes ruisseaux
    Ignorer le sens du mot demain
    Vivre droite et désarmée
    Calquer ma vie sur la couleur du temps
    N'être rien qu'une maison
    Grande ouverte et transparente et nue
    Nue comme la vérité
    Comme un mur blanc qu'un enfant colorie
     
    Vivre à vous offrir l'espoir
    Comme au creux des mains la source
    Je veux vivre à vous chanter
    Vivre à vous fleurir les yeux
    Être enceinte d'une étoile
    Sans savoir le chiffre de mes ans
    Vivre comme l'on écrit un chant d'amour
    Aux hommes du futur
    Être une maison de mots
    Un grenier de chansons pour l'hiver
    Respirer comme une porte ouverte
    Sur la treille et le rosier
    {Au Refrain}
    Je suis femme véritable
    J'ai porté l'enfant aux mains menues
    Et je vis pour mes amours
    Avec ce corps, ce cœur mal équarri
    Je suis femme véritable
    Je voulais simplement dire
    En passant devant vos portes
    Que vos rêves sont les miens

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  • A l'initiative du Conservatoire Pau Béarn Pyrénées, 16 villes européennes membres d'Eurocités offrent toutes ensemble un concert unique et merveilleux.

    La célèbre Cantate de Bach, Cantata BWV 147, "Jesus que ma joie demeure", est ainsi interprétée à l'occasion de la fête la Musique Ancienne, célébrée par l'Europe le 21 mars.


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    Faites que ce dessin fasse le tour de France et s'affiche sur un maximum d'écrans dans les jours qui viennent !
    À partager sans aucune modération pour soutenir le mouvement d'occupation des théâtres et des lieux culturels. Pour que la culture reprenne enfin ses droits. Si vous travaillez dans une commune possédant des espaces d'affichage publics, vous pouvez vous aussi disposer gratuitement de ce visuel en nous contactant par mail : cinqsecondes.prod@gmail.com
    En début d'année, nous avions réussi un pari un peu fou : collecter de l'argent via notre asso
    Cinq Secondes
    pour afficher des dessins de
    Marc Large
    dans des espaces publicitaires, à la place des traditionnels slogans. Parmi nos donateurs et donatrices, il y avait
    Sandrine Petitgrand
    : grâce à sa pugnacité, l'idée d'une autre campagne "AFFICHONS-NOUS !" a été reprise par plusieurs villes et villages des Landes avec un nouveau dessin original de Marc, créé pour une édition spéciale "défense de la culture". Un énorme MERCI à toi, Sandrine, d'avoir porté cette idée pendant plusieurs mois auprès des municipalités, à Marc pour son magnifique dessin et bien sûr aux communes participantes d'offrir leurs espaces d'affichage pour l'occasion, pendant plusieurs semaines en mars et avril : Angresse, Benesse-Marenne, Capbreton, Josse, Magescq, Messanges, Moliets, Orx, Saubion, Saubrigues, Saubusse, Saint Martin de Hinx, Mairie de St-Vincent de Tyrosse.

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  • « Le jour où je vais disparaître, j’aurai été poli avec la vie car je l’aurai bien aimée et beaucoup respectée.
    Je n’ai jamais considéré comme chose négligeable l’odeur des lilas, le bruit du vent dans les feuilles, le bruit du ressac sur le sable lorsque la mer est calme, le clapotis. Tous ces moments que nous donne la nature, je les ai aimés, chéris, choyés. Je suis poli, voilà. Ils font partie de mes promenades et de mes étonnements heureux sans cesse renouvelés.
    Le passé c’est bien, mais l’exaltation du présent, c’est une façon de se tenir, un devoir. Dans notre civilisation, on maltraite le présent, on est sans cesse tendu vers ce que l’on voudrait avoir, on ne s’émerveille plus de ce que l’on a. On se plaint de ce que l’on voudrait avoir. Drôle de mentalité !
    Se contenter, ce n’est pas péjoratif. Revenir au bonheur de ce que l’on a, c’est un savoir-vivre. »
    Extrait de Promenades en mer et étonnements heureux, d’Olivier de Kersauzon .

     


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  • Grandes Marées sous la neige ...


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  • Lea Vervoort


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