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  • "Exposer des oeuvres d'art dans les hôpitaux, les cliniques, les maisons de retraite pour enchanter le regard et adoucir la souffrance"


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    A. Bernegger

     

     Projet Frida : l'art et la beauté dans les lieux de             souffrance..

    Dans le cadre du projet Frida, Alain Bernegger expose les photographies de ses oeuvres éphémères sur les murs de la Clinique Montagard 23 bd Gambetta à Avignon (Vaucluse-France) depuis le mois de septembre 2010. La clinique Urbain V (Avignon) ont acquis récemment trente œuvres installées définitivement dans les chambres des malades et dans les salles d’attente.

    Le projet Frida initialisé en mai 2010 par Joëlle Ricol et ART’ère est un concept d’exposition qui « fait circuler la beauté dans les lieux de souffrance ».

    C’est ainsi que les hôpitaux , les cliniques, les lieux de soins deviennent des lieux où la vie circule, où des échanges humains autour de l’art peuvent se faire.

    Des souscriptions ont rendu ce projet possible. Chaque souscripteur a acheté le tirage (80 X 100 cm)d’une photographie réalisée par Alain Bernegger au prix coûtant. Cette photographie est  exposée dans plusieurs lieux de soin avant d’être rendue à son propriétaire.

    Le cheminement de l’oeuvre dans les différents lieux sera communiqué au souscripteur. Chaque souscription est un véritable parrainage d’humanité: la photo choisie et éditée sera le support d’une relation entre l’artiste, une ou des personnes souffrantes, et une œuvre.

    Ce parrainage est concrétisé par une « feuille de lien » où chacun peut écrire ce qu’il a ressenti au sujet de l’œuvre : l’artiste qui l’a créée ; le souscripteur qui l’a choisie  et la personne qui en profitera le temps d’une hospitalisation ou d’un séjour en lieu de soin.

    Ainsi l’art retrouve sa véritable vocation : celle de communiquer, de régénérer et d’accompagner l’homme dans sa quête de sens 

    http://www.artmajeur.com/bernegger/


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  • Helder P.Dos Santos

     

     


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  • La géographie est au sens premier une écriture de la terre, on ne saurait mieux dire, ça m'écrase d'évidence; l'immuable géographie de mes livres dessine un pays archaïque, un pays haut, pelu, bourru, violemment doux, ardemment rogue, perdu et retrouvé toujours, quitté et lancinant. Des hommes et des femmes, et quelques enfants, y vivent, y travaillent, ils habitent dans des maisons qui font corps autour d'eux, les bêtes sont nombreuses et vivaces, les apprivoisées et les autres; on s'enfoncerait là, dans la chair des choses et des cantons minuscules. Si j'osais, si j'osais vraiment, si j'avais moins de peur et davantage de force, on ne passerait pas par les histoires, le roman, la nouvelle, on ne raconterait rien et le blanc monterait sur la page jusqu'à la noyer de silence. On ferait ça, on serait à l'os de l'étymologie, dans le poème des choses nues révélées, le feu , la nuit, les saisons. Il s'agirait de restituer un monde, de le donner à voir, mais aussi à entendre, écouter, deviner, humer, flairer, sentir, goûter, toucher, embrasser, à plein bras, de toute sa peau, page à page, pas à pas, comme on marche, et ma place serait là, enfoncée dans les pays et dans la rumination lente du verbe.

    M.H. Laffon : extrait de "Traversée"

    Coll paysage écrits Juin 2013


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  • Sylvain dans la Compagnie Vendredi Dix

    Théâtre Michel Galabru


     


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  • Branislav Markovic


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  • Elisabeth Amstrong - Textil Artist


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  • Dinie Bogaert


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  • Maison des pratiques artistiques.


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